De 30 à 60 % des emplois actuels seraient automatisables au moyen de technologies existantes ou émergentes, selon la Coalition Force 4.0.
Coalition Force 4.0, un regroupement de personnes influentes et d’organisations de la région de Québec qui vise notamment « à soutenir les innovants dans le but de favoriser le développement technologique et numérique en facilitant l’implantation en continu de solutions innovantes », affirme baser cette affirmation sur « diverses études ».
De plus, selon cette coalition, « de grands bouleversements nous attendent. Rien de moins qu’un tsunami numérique ».
Le regroupement évoque des possibilités de « crise » ou de « choc », mais aussi des « occasions à saisir » et un « potentiel de développement », pour tous les secteurs de l’économie (tourisme, manufacturier, santé, finances, services publics, vente au détail, etc.).
En conséquence, la coalition dit inviter les acteurs socioéconomiques de la Capitale-Nationale « à se mobiliser pour affronter les grands bouleversements provoqués par la transformation numérique sur l’emploi et la formation ».
À son avis, les modèles d’affaires doivent notamment être préparés aux transports autonomes et aux objets connectés.
La rectrice de l’Université Laval, Sophie D’Amours, ainsi que le président-directeur général du Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ), Denis Hardy, sont des membres de cette coalition.
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