Le secteur des technologies liées à l’environnement gagnerait du terrain au Québec, selon Ernst & Young.
Ernst & Young (EY), une entreprise qui commercialise des services de certification, fiscalité et consultation, affirme sur la base d’un sondage que des entreprises des secteurs traditionnels seraient de plus en plus réceptives aux produits qui sont développés et commercialisés par des entreprises de « technologies propres ».
À son avis, les revenus annuels totaux de entreprises du Québec dites de « technologies propres » (environ 350) atteindraient désormais 1 milliard de dollars, tandis que les investissements annuels en recherche atteindraient désormais 300 millions de dollars.
Leurs technologies viseraient notamment la production alimentaire, la gestion des ressources naturelles, les marchés gouvernementaux, ainsi que la gestion de l’énergie dans les secteurs manufacturier, immobilier et du transport.
Selon EY, une « prise de conscience croissante des populations à l’égard des enjeux climatiques », y compris « de la part du monde des affaires », impliquerait par exemple une volonté de « réduction de l’empreinte environnementale » des activités d’affaires ou industrielles.
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