Technologies D-Box, de Longueuil, a vu sa perte nette progresser au troisième trimestre terminé le 31 décembre, malgré une hausse de 33 % de ses revenus.
Pour le trimestre, la société a vu sa perte nette atteindre 1,96 million de dollars (1,2 cent par action), elle qui était de 1,84 million de dollars (1,4 cent par action) à la période correspondante il y a un an.
Le fait que la perte par action ait diminué signifie qu’il y avait davantage d’actions en circulation au 31 décembre 2011 qu’à la même date un an plus tôt.
Les revenus ont quant à eux progressé à 1,81 million de dollars, comparativement à 1,37 million de dollars au trimestre correspondant de l’exercice précédent.
Au 31 décembre, D-Box disposait de trésorerie et d’équivalents de trésorerie d’une valeur de 11 millions de dollars et d’inventaires totalisant 5,5 millions de dollars.
Perspectives
Au cours des prochains mois, D-Box dit vouloir prioriser deux axes majeurs de développement, soit le cinéma en salle et la clientèle des équipementiers d’origine.
À court terme, la société estime toutefois que le segment du cinéma en salle offre des perspectives plus intéressantes.
À l’échelle mondiale, D-Box veut élargir son offre auprès de chaînes de cinéma nationales, omniprésentes notamment dans les marchés urbains importants. « La société continue d’entretenir des discussions directes avec de grandes chaînes d’exploitation de salles de cinéma et souhaite conclure des ententes au cours des prochains mois. Ces chaînes offrent le potentiel d’accélérer de façon importante le rythme de déploiement ainsi que la visibilité actuelle de la société », dit-on dans un communiqué.
Du côté de la clientèle des équipementiers d’origine, D-Box entend « continuer à développer ses relations d’affaires auprès de clients bien établis et reconnus dans leurs créneaux respectifs et qui possèdent un certain niveau de rayonnement international », estimant que cette stratégie lui permettra de réduire ses frais de ventes et de marketing.
D-Box se spécialise dans la conception de simulateurs de mouvements pour l’industrie du divertissement.
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