Résultats financiers annuels positifs pour Technologies D-Box

Technologies D-Box rapporte des revenus de 14,2 millions de dollars pour son année financière 2013.Logo de Technologies D-Box

Technologies D-Box, une entreprise de Longueuil qui commercialise des systèmes de reproduction des mouvements pour les industries du cinéma, du jeu vidéo et de la santé, fait état de revenus annuels qui sont supérieurs de 61,4 % aux revenus de 8,8 millions de dollars qui avaient été obtenus lors de son année financière 2012.

Technologies D-Box précise que 5,8 millions de dollars proviennent du marché américain, 3,3 millions de dollars du marché canadien, 3,08 millions de dollars du marché européen, 1,2 million de dollars du marché asiatique, 0,3 million de dollars du marché sud-américain, 0,17 million de dollars du marché du Moyen-Orient et 0,11 million de dollars du marché de l’Océanie.

Parmi ces revenus annuels, 6,1 millions de dollars proviennent de la vente de systèmes de reproduction des mouvements dans le marché industriel, tandis que 8,1 millions de dollars proviennent de la vente de systèmes de reproduction des mouvements dans le marché du divertissement.

Parmi ces revenus annuels de Technologies D-Box qui proviennent du marché du divertissement, 6,7 millions de dollars proviennent de ventes, de droit d’utilisation et de frais de location et de maintenance qui ont été obtenus des exploitants de salles de cinéma. D’autre part, 1,3 million de dollars proviennent de la vente de systèmes pour le divertissement à domicile.

Pour son année financière 2013 qui a pris fin le 31 mars dernier, Technologies D-Box comptabilise un coût des produits de 7,9 millions de dollars, des dépenses de ventes et marketing de 4,8 millions de dollars, des dépenses administratives de 2,9 millions de dollars et des dépenses de recherche et développement de 1,1 million de dollars.

Technologies D-Box rapporte une perte nette annuelle de 2,5 millions de dollars. Cette perte nette annuelle est inférieure de 60,7 % à la perte nette de 6,5 millions de dollars qui avait été rapportée au terme de son année financière 2012.

Jean-François Ferland
Jean-François Ferland
Jean-François Ferland a occupé les fonctions de journaliste, d'adjoint au rédacteur en chef et de rédacteur en chef au magazine Direction informatique.

Articles connexes

Adoption du projet de loi no 38 sur la cybersécurité et la transformation numérique de l’administration publique

Le projet de loi no 38, connu sous le nom de Loi modifiant la Loi sur la gouvernance et la gestion des ressources informationnelles des organismes publics et des entreprises du gouvernement et d'autres dispositions législatives, a été adopté plus tôt cette semaine par l'Assemblée nationale.

Investissements majeurs de 500 M$US de Microsoft au Québec

Au cours des deux prochaines années, Microsoft investira 500 millions de dollars américains dans l'expansion de son infrastructure infonuagique et d'intelligence artificielle à grande échelle au Québec.

Balado Hashtag Tendances, 23 novembre 2023 — Crise chez OpenAI, des puces Microsoft et investissements majeurs au Québec pour Microsoft

Cette semaine : Grave crise à la tête d’OpenAI, Microsoft conçoit ses propres processeurs et investissements de 500 M$ de Microsoft au Québec.

Consultation publique sur la cybersécurité

Le ministère de la Cybersécurité et du Numérique lance cette semaine une consultation publique sur la cybersécurité. Celle-ci permettra au gouvernement du Québec de solliciter un grand nombre d'intervenants ainsi que la population générale sur les enjeux et les besoins en cybersécurité.

Plus de six PME québécoises sur dix touchées par la cybercriminalité au cours de la dernière année

Un nouveau sondage mené par KPMG au Canada le mois dernier révèle que plus de six PME sur dix au Québec ont été attaquées par des cybercriminels au cours de la dernière année, et près des trois quarts d'entre elles affirment que leurs anciens systèmes d'information et de technologie opérationnelle les rendent vulnérables aux attaques.

Emplois en vedette

Les offres d'emplois proviennent directement des employeurs actifs. Les détails de certaines offres peuvent être soit en français, en anglais ou bilinguqes.