Ubisoft rapporte des revenus de 279,2 millions d’euros et une perte nette de 32,3 millions d’euros pour les six premiers mois de son année financière 2012-13.
L’éditeur français de jeux vidéo Ubisoft, qui exploite deux studios au Québec, rapporte pour les six premiers mois de son exercice financier 2012-13 des revenus de 279,2 millions d’euros (355,5 millions de dollars) qui sont supérieurs de 12,4 % aux revenus de 248,5 millions d’euros (316,4 millions de dollars).
Ubisoft précise que 49 % de ses revenus semestriels proviennent du marché de l’Amérique du Nord, contre 41 % du marché de l’Europe et 10 % du reste du monde.
Pour le deuxième trimestre, Ubisoft fait état de revenus de 148 millions d’euros (188,4 millions de dollars), soit 1,4 % de plus que les revenus du trimestre équivalent de son année financière précédente. Ces ventes sont supérieures de 38 millions d’euros (48,3 millions de dollars) aux prévisions qui avaient été formulées pour le trimestre en raison des revenus associés aux ventes de deux jeux vidéo et du fonds de catalogue ainsi qu’en raison des revenus en ligne.
Dépenses et perte nette
Pour le semestre, Ubisoft fait état de dépenses générales et commerciales de 154 millions d’euros (196,1 millions de dollars). Il s’agit d’une hausse de 27,3 % en comparaison avec les données du semestre correspondant de l’année financière précédente.
Les dépenses de recherche et développement sont de 96,8 millions d’euros (123,2 millions de dollars), soit 11,6 % de plus que celles des six premiers mois de l’exercice financier 2012-13.
Ubisoft rapporte une perte nette de 32,3 millions d’euros (41,6 millions de dollars), soit 12,9 % de moins que la perte nette de 37,1 millions d’euros (47,2 millions de dollars) qui avait été rapportée pour les six premiers mois de l’exercice financier précédent.
Ubisoft ne fournit pas d’information sur les dépenses et sur le résultat final de son deuxième trimestre financier, ni dans son communiqué, ni dans les documents qui sont destinés aux investisseurs. Le communiqué qui annonçait les résultats du premier trimestre financier de l’entreprise ne contenait pas non plus de telles données, ce qui empêche la réalisation de déductions à partir des résultats semestriels.