Des cadres d’organisations publiques et parapubliques subissent des pressions importantes pour implanter des changements et pour toujours viser la performance, selon une professeure-chercheuse.
L’Université Téluq affirme que la professeure en gestion des ressources humaines Marie-Pierre Bourdages-Sylvain de son École des sciences de l’administration, ainsi que deux cochercheurs, ont reçu une subvention de la part du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada pour financer ce projet de recherche qui est intitulé « Une sociologie du rôle des cadres intermédiaires dans les organisations en transformation : paradoxes et agencéité ».
Ce projet vise notamment à permettre de « saisir la manière dont les cadres intermédiaires ajustent leurs actions stratégiques et leur engagement au travail en fonction des changements majeurs qui caractérisent leur environnement de travail, d’identifier les facteurs favorables à l’exercice optimal de leur rôle et de cibler les mesures prioritaires pour les soutenir dans un contexte soumis à des contraintes organisationnelles ».
Selon l’Université Téluq, « les organisations pourront profiter des résultats de cette recherche pour mieux saisir les dynamiques de transformation de la profession de cadre à travers les mutations des milieux de travail ».
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