OpenText appuiera les données ouvertes au fédéral

OpenText supportera l’Institut des données ouvertes en lui offrant trois millions de dollars en argent et en services.

Logo d'OpenTextDans le cadre de l’annonce du budget du gouvernement fédéral, qui promet une contribution financière égale à celle offerte pour améliorer l’innovation et le potentiel commercial des données ouvertes, l’éditeur d’applications de gestion de contenu OpenText rendu public sa contribution à l’Institut des données ouvertes, qui sera établi à Waterloo, en Ontario.

Lire : Budget fédéral : du soutien pour les données ouvertes, l’informatique quantique et la réutilisation d’ordinateurs

Pour cette contribution public-privé, OpenText s’est associée à l’Université de Waterloo,  au centre d’innovations Communitech, au Réseau canadien des médias numériques et à la plateforme intégrée d’apprentissage Desire2Learn.

Ce n’est pas la première fois que l’entreprise contribue au développement des données ouvertes au pays. OpenText est commanditaire de l’Expérience des données ouvertes canadienne, un marathon de création d’applications mobiles (aussi appelé appathon ou hackathon en anglais) qui se tiendra à la fin du mois de février. Cette compétition de 48 heures visera le développement d’applications à partir des ensembles de données ouvertes du gouvernement fédéral.

De plus, OpenText prévoit injecter, avec l’aide de partenaires, près de 100 millions de dollars dans un fonds de développement d’applications créatives.

Pour OpenText, il s’agit avant tout d’intégrer les données fédérales dans le secteur privé et d’encourager l’accessibilité de ces données.

« Il est temps de mettre les données ouvertes dans le courant dominant et OpenText est heureux d’appuyer cette collaboration du secteur privé avec le milieu universitaire et le gouvernement [fédéral] pour créer un écosystème au Canada où la possibilité offerte par le programme Open Data du gouvernement peut être mis à profit », a déclaré Mark Barrenechea, président et chef de la direction chez OpenText.

Lire aussi : Données ouvertes : transformer le gouvernement

Benjamin Jébrak
Benjamin Jébrak
Benjamin Jébrak est journaliste pour le magazine Direction Informatique.

Articles connexes

De nombreuses organisations ne pensent pas être la cible de gangs de rançongiciel, selon une enquête d’OpenText

De nombreuses organisations s'inquiètent des rançongiciels mais ne pensent toujours pas qu'elles en sont une cible, selon une enquête publiée mercredi par OpenText.

Le Tech3Lab de HEC Montréal recevra un financement de 18 M$ sur 5 ans pour accélérer le virage numérique des organisations

Le Tech3Lab de HEC Montréal, un important laboratoire universitaire en expérience utilisateur (UX), annonce un financement de 18 M$ sur 5 ans. La somme provient de deux organismes publics – le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et PROMPT, un organisme provincial – ainsi que de 13 partenaires privés.

OpenText se lance dans son aventure d’IA générative avec les GML Aviator

L'ère Aviator a officiellement commencé pour OpenText, basée à Waterloo, en Ontario, avec la sortie cette semaine de sa version 23.4 de Cloud Editions (CE), qui contient un certain nombre d'Aviators récemment annoncés qui constituent l'épine dorsale d'une nouvelle stratégie de produits basés sur l’intelligence artificielle (IA).

Leya conclut une ronde de financement de 1 M$

Leya, une jeune entreprise montréalaise qui propose une plateforme juridique numérique innovante, vient de conclure sa ronde de financement initiale de 1 M$ canadiens. Elle se prépare maintenant au déploiement d’une version bêta privée le 1er novembre, en prévision de son lancement public au Québec au début de l'année 2024.

OpenText et Google Cloud collaborent sur de nouvelles offres d’IA

OpenText a annoncé un partenariat élargi avec Google Cloud, quelques semaines seulement après avoir dévoilé opentext.ai, sa vision et sa stratégie en matière d'intelligence artificielle.

Emplois en vedette

Les offres d'emplois proviennent directement des employeurs actifs. Les détails de certaines offres peuvent être soit en français, en anglais ou bilinguqes.