Version 3.0 de JMap chez Kheops – Logiciel de paie à l’APCHQ – Antivirus pour les assistants personnels chez Symantec – Une méthodologie pour identifier les logiciels espions
Version 3.0 de JMap chez Kheops
Kheops Technologies, une entreprise de Montréal qui développe des solutions informatiques en géomatique, vient de publier la version 3.0 de la solution de diffusion géographique interactive JMap.
Parmi les améliorations, on retrouve une ergonomie de l’interface utilisateur améliorée, de nouveaux outils de collaboration, d’édition et de requêtes spatiales ainsi que le support de WMS (Web Map Services), un protocole établi par l’Open Geospatial Consortium, qui alloue la création de thématiques avancées pour faciliter l’analyse de données géospatiales. La sauvegarde de contexte, le groupement de couches à l’intérieur d’un projet, le recours à des infobulles avec forage et l’exportation de données en format Shapefile ou MapInfo ont également été ajoutés au produit. Cette nouvelle version peut aussi accéder à des sources additionnelles de données spatiales, soit les données ArcSDE d’ESRI, Personal GEO, DGN V8 de Microstation, DWG/DXF 2005 de Autocad ainsi que les serveurs WMS.
Logiciel de paie à l’APCHQ
L’Association provinciale des constructeurs d’habitation du Québec, un regroupement de l’industrie québécoise de la construction et de la rénovation résidentielle, a lancé un logiciel nommé Logiciel Paie Construction qui est destiné à la gestion de la paie et des ressources humaines au sein des entreprises de ce secteur.
Développé par Fortsum Solutions d’affaires, l’ancien Fortune 1000, ce logiciel offre l’intégration et la mise à jour de façon automatique des taux déterminés par la Commission de la construction du Québec (CCQ) tout comme l’intégration des outils de l’organisme qui sont accessibles via Internet. La solution permet également d’effectuer le calcul du coût de la main-d’oeuvre par projet, la production de relevés et de formulaires gouvernementaux ainsi que la transmission en formats électronique ou papier du rapport mensuel de l’employeur à la CCQ. Elle s’intègre à la plupart des logiciels comptables couramment utilisés au sein de l’industrie québécoise, dont ACCPAC, Fortune 1000 Construction et Simple comptable.
Le logiciel est offert en tant qu’abonnement mensuel par Fortsum Solutions d’affaires et inclut le soutien technique pour le logiciel et pour la gestion des paies ainsi que les mises à jour. Le produit-service s’ajoute à un portefeuille de solutions informatiques offert conjointement par l’APCHQ et son partenaire technologique, soit Go-Estimations et Go-Projets, ainsi qu’à un service d’impartition de la gestion de la paie et des relations de travail.
Antivirus pour les assistants personnels chez Symantec
Symantec a publié à l’intention des entreprises une solution antivirus pour les terminaux de poche nommée Antivirus pour Assistants personnels 3.5 qui sert à protéger les composantes de gestion de l’information personnelle et de communication sans fil qui utilisent les plates-formes Palm OS, Microsoft Windows Mobile (sauf Windows Smartphone) et Pocket PC.
La solution vise à protéger ces composantes portatives des codes malicieux qui pourraient être transmis par l’Internet, le courriel, une liaison Wi-Fi ou par un envoi de données par le protocole BlueTooth ou le port infrarouge des appareils. Le balayage des données peut être effectué à la demande, de façon planifiée ou automatique, à l’aide des définitions des virus sont reçues par l’utilitaire Wireless LiveUpdate. Le logiciel peut être paramétré à l’aide des fonctionnalités de gestion des configurations et d’application des politiques d’entreprise au moyen de la console System Center de la solution Client Security.
Une méthodologie pour identifier les logiciels espions
Les grands joueurs de l’industrie de la protection des données informatiques, soit McAfee, Symantec, Trend Micro, ICSA Labs et Thompson Cyber Security Labs, se sont entendus pour établir des méthodologies d’identification et de test pour les technologies de limitation des logiciels espions.
Ces entreprises souhaitent ainsi permettre aux individus et aux entreprises de prendre des décisions éclairées en matière de choix de moyens de protection contre les logiciels espions, et ce, au moyen de tests de produits basés sur des critères d’évaluation de tierce partie ainsi que des échantillons standards et communs destinés aux environnements de détection et de test. Les entreprises auront recours aux définitions et aux conventions de nom créées par l’organisme Anti-Spyware Coalition, et oeuvreront avec ce dernier pour développer des guides pour des outils de recherche.