Seulement 15 % des logiciels installés au travail par des employés seraient exempts de problèmes, indique une étude mondiale d’IDC qui a été commandée par Microsoft.
L’utilisation de logiciels contrefaits et piratés au travail coûte aux organisations plus de 114 milliards de dollars américains par année, peut-on lire dans une étude réalisée par la firme d’analyse et de recherche IDC pour le compte de l’éditeur de logiciels Microsoft.
L’augmentation des menaces à la sécurité, les interférences avec les logiciels autorisés, les mauvais fonctionnements de systèmes, les temps d’arrêt, les coûts en soutien et en réparation et le temps consacré par les ressources en TI font partie des problèmes qui sont associés à l’utilisation de logiciels piratés et contrefaits, selon les décideurs de 973 entreprises qui ont été interviewés dans le cadre de l’étude d’IDC.
Une partie du problème, selon un représentant de Microsoft, émanerait de la prévalence de l’installation de logiciels par les employés et de l’apport des appareils mobiles personnels au sein du réseau de l’organisation sans qu’un audit de sécurité ne soit réalisé au préalable.
Selon l’étude d’IDC, 38 % des gestionnaires en TI sauraient que les employés installent des logiciels personnels au travail et 57 % des employés auraient admis qu’ils agissent de la sorte.
Lisez l’article Software piracy costs businesses $114B: IDC (en anglais) du journaliste Nestor Arellano, qui a été publié dans le portail IT World Canada, une publication soeur de Direction informatique.