La réussite de l’Institut national d’optique passerait par sa capacité à développer la photonique imprimable et sur silicium.
L’Institut national d’optique (INO), dont le siège social est situé à Québec et qui est un centre de conception, de développement et de transfert technologique en systèmes optiques et photoniques à vocation industrielle, affirme avoir un plan de développement qui comprend deux axes.
La photonique est la discipline qui regroupe les techniques qui utilisent le photon, plutôt que l’électron en électronique, comme véhicule de l’information, selon la définition qui a été retenue par l’Office québécois de la langue française.
Le premier axe de développement de l’INO reposerait sur la reconduction d’un financement de 50 millions de dollars sur cinq ans pour augmenter sa capacité à développer des solutions de photonique imprimable et sur silicium.
Le deuxième axe de l’INO, soit son plan d’expansion au Canada, reposerait sur un soutien financier de 27,2 millions sur cinq ans. Il viserait à augmenter ses ressources de commercialisation et d’intégration de solutions en Ontario dans les secteurs industriel et biomédical, ainsi que dans l’Ouest dans les domaines de la sécurité, du transport par pipeline et de l’environnement.
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