Une étude d’Aimia souligne que les organisations doivent éviter de saturer les consommateurs lors de leurs initiatives en marketing numérique afin de ne pas perdre leur confiance, rapporte IT Business.
Dans le cadre d’un sondage réalisé à l’été 2013 auprès de 2 000 personnes du Canada, des États-Unis et du Royaume-Uni par l’entreprise montréalaise Aimia, qui offre des services de gestion de la fidélisation, 31 % des répondants canadiens ont dit suivre d’une à cinq organisations par le biais de leurs présences dans les réseaux sociaux Facebook et Twitter.
Toutefois, l’auteur de l’étude d’Aimia, Martin Hayward, affirme que les responsables du marketing doivent préserver les relations qui sont établies avec les consommateurs, alors que certains ont la perception d’être inondés de messages chaque jour. 22 % des répondants canadiens regretteraient d’avoir « aimé » une marque dans Facebook, et 24 % de s’être enregistré en ligne auprès du site web d’une marque ou d’une entreprise.
Un article publié dans le portail IT Business – une publication sœur de Direction informatique – décrit quatre résultats possibles pour le marketing en ligne des organisations selon l’étude d’Aimia. Ces éventualités, positionnées dans les quadrants d’un graphique en fonctions d’axe de contrôle et d’engagement, sont « l’offre d’anarchie », « [l’approche] payer pour jouer », « la chasse aux affinités » et « les relations véritables ».
L’article d’IT Business intègre aussi un entretien vidéo avec Susan Doniz, la responsable des technologies de l’information d’Aimia, à propos du rôle que peut jouer la technologie pour le développement des affaires.
Lire l’article au complet dans le site d’IT Business (en anglais)