OpenText, une entreprise qui développe et vend des logiciels de gestion de l’information d’entreprise, a publié hier une nouvelle enquête révélant dans quelle mesure les effets de la surcharge d’informations affectent les Canadiens et comment cela a changé durant la pandémie de COVID-19.
OpenText a interrogé 27 000 consommateurs de 12 pays à travers le monde, dont 2 000 Canadiens.
Les faits saillants de l’enquête révèlent que plus des trois quarts des répondants canadiens estiment maintenant que la surcharge d’information, y compris le bombardement constant de nouvelles, les médias sociaux omniprésents ou trop d’applications à consulter quotidiennement, contribue à leur stress quotidien. Cela se compare à seulement 43 % qui avaient indiqué dans une enquête OpenText menée en 2020 que la surcharge d’informations contribuait à leur stress quotidien.
De plus, seulement 44 % des employés canadiens qui ont répondu au sondage de cette année ont déclaré qu’ils estimaient disposer des bons outils numériques pour travailler à la maison. Cependant, au début de la pandémie, 67 % des personnes interrogées ont déclaré se sentir préparées pour le travail à distance.
Trente-neuf pour cent des employés ont déclaré qu’ils passaient normalement une heure ou plus par jour à rechercher sur les réseaux de l’entreprise ou des systèmes partagés des fichiers de travail spécifiques ou des éléments d’information uniquement pour effectuer des tâches pour leur travail, et près de la moitié ont déclaré que les informations dispersées sur plusieurs sites. entravent leur capacité à trouver les informations dont ils ont besoin pour faire leur travail.
L’enquête a également révélé qu’environ la moitié des employés interrogés utilisent des systèmes de partage de fichiers personnels tels que OneDrive, Google Drive, WhatsApp et Dropbox pour le partage de fichiers liés au travail afin de leur faciliter la tâche.
Plus d’informations sur l’enquête et ses résultats (en anglais) sont disponibles ici.
Adaptation et traduction française par Renaud Larue-Langlois.