Des autorités réglementaires du Canada et des États-Unis auraient à approuver un projet d’acquisition de BlackBerry par l’entreprise chinoise Lenovo, rapporte Reuters
Peu après que le quotidien américain Wall Street Journal ait dévoilé que le fournisseur technologique chinois Lenovo a signé un accord de confidentialité avec BlackBerry, afin d’avoir accès aux données comptables internes de cette dernière, une dépêche de l’agence Reuters indique qu’une éventuelle offre d’acquisition ferait l’objet de sérieux examens de la part d’autorités réglementaires du Canada, mais aussi des États-Unis.
Reuters indique que le transfert de la propriété du réseau sécurisé de télécommunications de BlackBerry à une entreprise située hors de l’Amérique du Nord serait peu probable en raison d’inquiétudes liées à la sécurité, selon des experts en sécurité.
Toutefois, les actifs liés aux appareils mobiles de BlackBerry pourrait être vendus plus facilement à un fabricant dont le siège social n’est pas situé au Canada ni aux États-Unis.
Par ailleurs, selon des sources non identifiées par Reuters, des dirigeants de BlackBerry auraient discuté avec les fournisseurs technologiques Cisco Systèmes, Google et SAP à propos d’une vente complète ou partielle de ses actifs.
Lire la dépêche au complet dans le site de Reuters (en anglais)