La Banque royale du Canada a été mentionnée dans une enquête du New York Times au sujet de violations de la vie privée par Facebook.
IT World Canada rapporte que la Banque royale du Canada (RBC), qui fait partie du Big Five des plus grosses au Canada sur la base de leur capitalisation boursière, apparaît aux côtés de firmes de Silicon Valley dans l’enquête du New York Times au sujet du contournement par Facebook des protections pour ses utilisateurs liées à la vie privée, par exemple en matière de confidentialité de la liste d’amis, au bénéfice de partenaires.
« Facebook a permis à Spotify, à Netflix et à la Banque royale du Canada de lire, d’écrire et de supprimer des messages privés d’utilisateurs, ainsi que de voir tous les participants à un fil de discussion — des privilèges qui semblaient aller au-delà de ce dont ces entreprises avaient besoin pour intégrer Facebook à leurs systèmes », a écrit le New York Times, précisant qu’un porte-parole a contesté que la RBC eût reçu des permissions spéciales contournant les protections des utilisateurs liées à la vie privée.
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