Les travailleurs québécois considèrent que la formule traditionnelle de travail de « 9 à 5 » est de moins en moins nécessaire dans l’environnement de travail moderne, selon une étude réalisée pour Microsoft.
À l’aide d’une étude pancanadienne publiée à l’occasion de la journée « Faites-le » (Get it done Day en anglais), qui vise à amorcer une conversation sur l’amélioration de la productivité des Québécois et des Canadiens, Microsoft démontre comment les Québécois et les Canadiens pourraient vivre une expérience de travail améliorée dans un environnement différent et plus flexible.
Cette étude, réalisée sur la base d’un sondage Ipsos Reid qui a été réalisé auprès de plus de 1000 répondants, rapporte que 72 % des Canadiens et des Québécois considèrent que le traditionnel « 9 à 5 » est de moins en moins nécessaire.
Un employeur offrant environnement de travail flexible, que ce soit par la valorisation d’une conciliation travail-famille ou par le travail en mobilité, doit toutefois fournir les bons outils à ses employés. Pour 87 % des répondants aux Québec, un employé peut être plus productif si on lui fournit les bons outils. Cette proportion baisse lorsque l’on demande si les entreprises fournissent effectivement de bons outils permettant d’être plus productif, seuls 61 % des répondants ont répondu positivement.
De plus, 31 % des répondants estiment que leur employeur a investi dans la bonne technologie, que ce soit au niveau des téléphones intelligents, des ordinateurs portables ou des réseaux virtuels privés.
Pour souligner la journée Get it done Day, Microsoft a décidé de prêcher par l’exemple et de permettre à ses employés de s’absenter du bureau. Toutefois, elle a encouragé ses employés à travailler de chez eux, en utilisant les produits de la suite Office 365.
« Il y a clairement un besoin de sensibiliser autant les employés que les employeurs au sujet des avantages que peuvent engendrer les outils de productivité moderne, a affirmé Gareth Oystryk, le directeur responsable des produits Office chez Microsoft Canada. Notre objectif est d’envoyer un message clair sur le besoin pour les travailleurs de disposer d’un plus grand contrôle sur leur lieu et leur horaire de travail. En ce sens, il n’y avait pas de meilleure façon de le faire qu’en commençant par notre propre équipe. »