Le mouvement de désintermédiation financière par l’entremise du financement participatif en capital répond au besoin des petites entreprises du Québec de trouver du financement à moindre coût, selon le CEFRIO.
L’organisme québécois de transfert et liaison CEFRIO, sur la base de son propre rapport de recherche, rappelle que l’émergence des réseaux sociaux et celle des plateformes Internet de financement sont à l’origine de la naissance et de l’essor mondial de la pratique de financement participatif en capital en ligne.
Le CEFRIO, dont la mission est l’appropriation de l’utilisation du numérique par les organisations, affirme que « plusieurs entreprises québécoises en démarrage souhaitent pouvoir y avoir accès pour se financer auprès du public et de leurs auditoires, entre autres sur les médias sociaux ».
De plus, selon le CEFRIO, « de nouvelles règles devraient sous peu être mises en place par l’Autorité des marchés financiers (AMF), afin d’encadrer et de favoriser le développement de cette méthode de financement, notamment pour les entreprises québécoises ».
Le CEFRIO mentionne que ses travaux de recherche visent la réflexion sur les risques et l’encadrement du financement participatif en capital en regard du comportement du public investisseur sur les plateformes de financement électroniques et du comportement des promoteurs de plateformes.
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