Cisco tient présentement au Palais de Congrès de Montréal un sommet avec environ 6 000 représentants de partenaires mondiaux de développement et de commercialisation.
Le chef de la direction du fournisseur de réseautique et de télécommunications Cisco, John Chambers, ainsi que le vice-président exécutif de Cisco, Bruce Klein, doivent utiliser cette tribune pour présenter aux partenaires des opportunités en matière de logiciels, d’infonuagique, de sécurité, de données et d’Internet des objets qui doivent influencer les modèles d’affaires, les industries, les immeubles, les villes et le secteur public, de même que pour faire le point sur les activités mondiales de Cisco.
Par exemple, dans un communiqué de presse du 16 avril, Cisco présentait une étude selon laquelle l’industrie du gaz et du pétrole pourrait vouloir adopter l’Internet des objets, ainsi que la surveillance et l’analyse de données, pour améliorer son efficacité opérationnelle et compenser les fluctuations des prix de ces ressources. Il doit aussi être question de l’impact du développement de villes dites « intelligentes » sur les opportunités pour les partenaires.
D’entrée de jeu, John Chambers a mentionné s’attendre à ce que 40 % des entreprises d’aujourd’hui disparaissent d’ici les dix prochaines années en raison d’une « rupture numérique ».
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