La chaire de recherche en neuroinformatique de l’Université de Sherbrooke vise à cartographier le cerveau et ses troubles.
L’Université de Sherbrooke affirme miser sur la neuroinformatique pour accroître la connaissance et la compréhension du cerveau.
Par exemple, « la neuroinformatique, pont entre l’informatique et la médecine, permettra de cartographier les connexions du cerveau », ce qui « mènera à des découvertes sur le cerveau sain et à des avancées dans le diagnostic des tumeurs cérébrales et des maladies dégénératives », précise l’Université de Sherbrooke. Les troubles liés au cerveau qui sont concernés incluraient la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, les commotions cérébrales et l’autisme.
Une technique non invasive d’imagerie par résonance magnétique de diffusion (IRMd) doit notamment être mobilisée pour cartographier l’architecture du cerveau et de ses connexions.
Le Centre de recherche du Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS), des sujets de recherche sains et des sujets de recherche malades doivent notamment être mis à contribution dans le cadre des recherches, ainsi qu’une équipe qui sera formée d’informaticiens, de mathématiciens, d’un physicien, de neurologues et de personnel médical.
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