L'Agence des services frontaliers du Canada est le dernier organisme fédéral à confirmer avoir été touché par une récente vague d'attaques par déni de service.
Des attaques par déni de service distribué contre les sites Web des ministères fédéraux et de plusieurs provinces et territoires canadiens, dont l'Île-du-Prince-Édouard, le Yukon, la Saskatchewan et le Manitoba, ont incité l'agence fédérale de cybersécurité à émettre une alerte informatique.
Les pièces jointes restent un moyen efficace de diffuser des logiciels malveillants tant et aussi longtemps que les travailleurs manquent les indices vitaux. Deux exemples détaillés par des chercheurs de Fortinet démontrent les dernières techniques des cybercriminels qui peuvent être présentées au personnel dans le cadre d'une formation de sensibilisation à la sécurité.
Pelmorex Corp., la société mère de deux sites Web météorologiques canadiens, a toujours du mal à reprendre son plein service après qu'un fournisseur de logiciels non identifié ait été touché par une cyberattaque.
La semaine dernière, le Citizen Lab de l'Université de Toronto a découvert une vulnérabilité « activement exploitée » dans les appareils iPhone pour diffuser le logiciel espion mercenaire Pegasus du gang NSO, sans aucune interaction de la victime.
Le gang de cyberattaque russe Sandworm a créé une nouvelle boîte à outils pour compromettre les appareils Android, indique un rapport publié récemment par l’alliance de renseignement le Groupe des cinq, composée des agences de renseignement des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande, qui l'utilise d'abord pour cibler les appareils Android utilisés par l’armée ukrainienne.
Les administrateurs de VMware et de certains appareils de Cisco Systems sont prévenus d'installer des correctifs dès que possible pour corriger des vulnérabilités graves.
Selon les chercheurs de Mandiant, certaines passerelles de messagerie ESG de Barracuda Networks déjà compromises restent vulnérables à une exposition continue, même si les utilisateurs ont été avertis de remplacer les appareils.
La police de sept pays, dont les États-Unis, a déclaré mardi avoir infiltré et détruit l'infrastructure derrière le réseau zombie Qakbot, puis utilisé cet accès pour commander aux ordinateurs infectés de supprimer le logiciel malveillant.
La principale agence de cybersécurité du Canada a une fois de plus mis en garde les responsables informatiques, les dirigeants d'entreprise et les résidents des risques s'ils ne sont pas préparés à la cybercriminalité.