Malgré des investissements dans la cybersécurité, de nombreuses organisations canadiennes – et leurs homologues mondiales – admettent qu'elles ont toujours des problèmes de visibilité de leurs systèmes informatiques, ce qui complique leur capacité à sécuriser des données vitales.
Le National Institute of Standards and Technology (NIST) des États-Unis a choisi le premier groupe d'outils de chiffrement qui, selon lui, résistera à l'assaut d'un futur ordinateur quantique, une décision saluée par la cyberagence du gouvernement canadien.
Les experts en cybersécurité ne peuvent toujours pas confirmer les affirmations d'une personne vendant ce qu'elle prétend être des bases de données d'informations sur un milliard de résidents chinois supposément volées au service de police de Shanghai.
Les fabricants de produits de cybersécurité sont invités à adapter leurs applications pour détecter les abus d'un nouvel outil de simulation d'attaque commerciale utilisé par les cybercriminels.
Les cybercriminels ont exploité les faiblesses de l'utilitaire de script PowerShell de Windows pendant des décennies. Mais les agences de cyberrenseignement des États-Unis, du Royaume-Uni et de la Nouvelle-Zélande affirment que le désactiver n'est pas la solution.
De nombreuses entreprises canadiennes ont encore beaucoup de chemin à parcourir pour être considérées comme une organisation de cybersécurité mature, si l’étude d’un fournisseur est représentative.
Nous savons que la majorité des entreprises ont subi une forme d'attaque de rançongiciel. Selon un sondage Telus publié en 2022, « les cyberattaques sont en hausse au Canada, 98 % des organisations canadiennes signalant une cyberattaque au cours des 12 derniers mois ».
Des cybercriminels mettent en place une porte dérobée dans des installations du serveur Web Internet Information Services (IIS) de Microsoft qui n'est pas détectée par certains services d'analyse de fichiers en ligne, selon des chercheurs de Kaspersky.
Microsoft prévient les professionnels de la sécurité informatique qu’un nouveau ver affectant les ordinateurs sous Windows se propage rapidement mais jusqu'à présent, aucun attaquant n'aurait profité des infections.