De nombreuses organisations nord-américaines n'ont toujours pas de cyber assurance, révèle une nouvelle étude, et celles qui en ont n'ont pas une couverture suffisante.
Des employés de Twilio sont tombés dans le piège d'une escroquerie par hameçonnage par SMS la semaine dernière, répondant à des messages prétendant provenir du service informatique de l'entreprise qui ont compromis leurs informations d'identification et conduit au vol de données client.
On apprend ce matin que le fabricant de produits récréatifs BRP de Valcourt est actuellement la cible d’une « activité malveillante en matière de sécurité », tel que décrit par la société dans un communiqué.
L'objectif de la mise en œuvre de la vérification systématique trouve son chemin dans les environnements des petites et moyennes entreprises (PME), et une étape vitale implique la mise en œuvre d'une analyse continue des vulnérabilités, révèle un rapport publié cette semaine.
Les employés du renseignement du gouvernement américain devraient être interdits à vie de travailler pour des « opérateurs offensifs étrangers » comme moyen de lutter contre les logiciels espions commerciaux, a déclaré au Congrès un membre d'un groupe canadien de recherche sur Internet.
Avec un nombre croissant de cybermenaces visant leurs organisations et devant faire face à des budgets serrés, les responsables de la sécurité de l'information (RSI) peuvent ressentir un poids oppressant sur leurs épaules.
Les 25 entreprises canadiennes qui ont subi une violation de données au cours de la période de 12 mois se terminant en mars ont payé en moyenne 7 millions de dollars en frais de rétablissement par incident. En comparaison, la moyenne des 550 entreprises étudiées dans le monde était de 5,5 millions de dollars (les montants sont en dollars canadiens).
Les administrateurs de sites de commerce électronique utilisant la plate-forme open-source PrestaShop ont été avisés de mettre à jour l'application immédiatement pour éliminer de graves vulnérabilités.
L'un des plus grands orchestres du Canada fait partie des organisations nord-américaines victimes collatérales d'une attaque de rançongiciel plus tôt ce mois-ci sur WordFly, une plateforme de communication et de marketing numérique utilisée par les entreprises du domaine des arts, du divertissement, de la culture et du sport.
St. Mary's, en Ontario, une ville d'environ 7 500 habitants située une heure et demie au nord-ouest de Toronto en est au cinquième jour à faire face à une attaque de rançongiciel qui a crypté des données.