Uber a mandaté la firme de sondage de Léger de « conduire une étude de son marché, parmi la population générale ».
Dans le contexte des travaux de la Commission parlementaire sur le transport rémunéré de personnes par automobile, un sondage sur Internet aurait ainsi été réalisé par la firme de sondage Léger entre le 29 mars et le 3 avril 2016 auprès d’un échantillon de 500 personnes et dont la marge d’erreur serait de plus ou moins 4,9 %, 19 fois 20.
Sur la base du résultat de cette commande livré en avril 2016, et qui est intitulé Uber : Enquête sur l’appui des montréalais, Uber prétend que « la forte majorité des Montréalais appuie Uber ».
Ainsi, selon Uber sur la base de son sondage réalisé auprès d’internautes, le gouvernement devrait « être à l’écoute de 75 % de la population et réglementer pour permettre le covoiturage urbain » (qui est déjà permis et encouragé dans sa forme non commerciale). Malgré son aspect commercial, Uber continue de se présenter comme étant un fournisseur de « services de covoiturage urbain » et de « services de l’économie du partage ».
Uber mentionne fournir une application pour téléphones « intelligents » qui doit permettre de « mettre en lien des usagers avec des partenaires-chauffeurs ».
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