L’automatisation dans les milieux de travail perturbera au moins 50 % des emplois au Canada d’ici dix ans, selon RBC Groupe financier.
Sur la base d’un rapport de recherche qu’il a produit, RBC Groupe financier affirme que cette ère sera « marquée par les perturbations et l’intelligence artificielle », et que pour les salariés « la mobilité des aptitudes, soit la capacité de passer d’un emploi à l’autre, deviendra un avantage concurrentiel ».
« Nous passons d’une économie fondée sur les emplois à une économie fondée sur les aptitudes », alors que « la technologie commence à avoir une incidence sur la plupart des emplois », et ce, dans « une ère de mobilité professionnelle à mesure que la technologie continue de transformer », soutient RBC.
Ses constats incluent une « nécessité » de « comprendre des outils numériques et internet pour occuper tous les nouveaux emplois », ainsi, à son avis, qu’une demande du marché du travail pour des aptitudes comme « l’esprit critique ».
De plus, la Banque royale du Canada mentionne vouloir de l’administration publique fédérale « l’uniformisation de l’information sur le marché du travail dans toutes les provinces et régions », ainsi qu’un « partenariat avec le secteur privé en vue de rendre l’information sur les aptitudes et les emplois accessibles en temps réel sur des plateformes interactives ».
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