Cet accord vise le développement et la commercialisation d’une imprimante 3D de création d’objets à partir de nanoparticules.
Le Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ) précise que l’imprimante 3D en question doit permettre de créer des objets à partir de nanoparticules de métal, de polymères et de matières organiques « aussi petites que des molécules d’ADN ».
Le CRIQ ajoute que cette entente prévoit que « Nanogrande, qui a développé cette imprimante 3D, poursuivra les travaux sur sa technologie au CRIQ où elle profitera du support d’une équipe et d’une vitrine technologique pour promouvoir son produit ».
Selon le CRIQ, des entreprises du Québec pourront éventuellement essayer cet équipement et vérifier sa compatibilité avec leurs propres besoins en développement de produits, car l’imprimante sera intégrée au laboratoire de fabrication additive du CRIQ.
« Le CRIQ nous aidera à faire connaître l’imprimante afin qu’il soit possible de fabriquer des objets et des structures 3D », affirme Nanogrande, une entreprise située à Laval. Le CRIQ dispose de 200 employés répartis dans des laboratoires à Québec et à Montréal.
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