Wanted Technologies rapporte un premier trimestre financier record de son exercice 2014 avec un bénéfice net de 460 000 dollars.
Wanted Technologies, une entreprise de Québec qui fournit des solutions de données, de veille et d’analyse en ligne qui sont axées sur le marché de l’emploi, rapporte des résultats positifs pour son premier trimestre financier de son exercice financier 2014. Avec des revenus de 1,9 million de dollars lors de son premier trimestre, terminé le 30 septembre dernier, Wanted Technologies a rapporté une croissance de 26 % par rapport au trimestre équivalent de l’année dernière.
Ce sont les revenus tirés des secteurs Corporatif et Recrutement qui ont connu la meilleure croissance pour l’entreprise. Ils ont augmenté de 65 % en comparaison au trimestre équivalent de son exercice financier 2013, passant de 28 % des revenus totaux à 37 % actuellement. Wanted Technologies a aussi maintenu ses frais d’exploitation. Avec une légère augmentation de 8 %, les frais d’exploitation de l’entreprise sont passés de 1,3 million de dollars lors de son premier trimestre de son exercice financier 2013, à 1,4 million de dollars pour son trimestre financier venant de se terminer. Selon l’entreprise, ces frais d’exploitation sont attribuables à une augmentation des effectifs consacrés au développement des produits.
Wanted Technologie attribue ses résultats positifs à son modèle d’affaires. « Notre modèle d’affaires d’abonnements à une solution de veille stratégique centralisée et accessible via cloud computing est une approche très efficace, a déclaré Bruce Murray, président et chef de la direction chez Wanted Technologies. Nous pouvons rendre nos services accessibles aux nouveaux clients à des coûts de livraison minimes ». La situation économique globale allant en s’améliorant serait aussi responsable de la hausse des revenus de l’entreprise. Les employeurs auraient besoin de plus de travailleurs et ils remplaceraient les postes laissés vacants. « Nos produits sont conçus pour aider les employeurs à combler les postes plus rapidement et à moindre coût. Cela signifie moins de temps investi sur les postes vacants et une réduction au niveau des frais de recrutement », a expliqué Bruce Murray.