5N Plus rapporte des revenus de 459 millions de dollars américains pour son année financière 2013.
5N Plus, une entreprise de Montréal qui produit et recycle des métaux et des sels qui sont destinés à des applications électroniques, pharmaceutiques et industrielles, fait état de revenus annuels qui sont inférieurs de 16,8 % aux revenus de 551,6 millions de dollars américains qui avaient été constatés pour son année financière 2012.
Parmi les revenus annuels de 5N Plus, 279,6 millions de dollars américains proviennent de la production de matériaux dits « écologiques ». Ces revenus sont inférieurs de 13 % aux revenus sectoriels qui avaient été rapportés par l’entreprise pour son année financière précédente. Le secteur des matériaux dits « électroniques » a permis à 5N Plus d’obtenir des revenus de 179,3 millions de dollars américains, soit 23 % de moins que les revenus qui avaient été produits dans ce secteur lors de l’année financière 2012.
Pour l’année financière qui a pris fin le 31 décembre 2013, 5N Plus fait état d’un coût des ventes de 405,1 millions de dollars américains ainsi que de frais généraux, de vente et d’administration de 36 millions de dollars américains. Ces frais et coûts annuels sont inférieurs aux sommes qui avaient été comptabilisées par l’entreprise pour son année financière précédente.
Après la déduction de charges financières et d’impôts, 5N Plus rapporte un bénéfice net annuel de 42,7 millions de dollars américains. Pour son année financière 2012, l’entreprise avait produit une perte nette de 227,8 millions de dollars.
En 2013, 5N Plus a annoncé qu’elle établirait une usine en Corée du Sud pour la production de produits chimiques à base de gallium.
Également, 5N Plus s’est entendue avec les anciens actionnaires de MCP Group à propos du versement d’un solde final moins élevé pour la conclusion de l’acquisition de l’entreprise belge. 5N Plus avait établi en 2011 l’entente visant l’achat de MCP Group, qui produit et distribue des métaux spéciaux et des produits dérivés, mais des procédures d’arbitrage avaient été amorcées de part et d’autre à propos de la valeur réelle de l’entreprise.